La voie de l'humanité

PARTIE I

Dans un nouveau corps, un nouvel état d’esprit, Sora parti s’entrainé, dans le lieu ou seul la nature est maitresse, sans prévenir qui que se soit, partant sans rien, dans l’intention de tous construire, dans une harmonie totale avec lui-même…

Je m’enfonce dans une foret de haut arbre, de pins certainement…je marche depuis quelques heures sans trop savoir ou je me dirige, cherchant simplement un endroit quasi parfait pour mon entrainement… puis vint un bruit de ruissellement. Je trouvais cette endroit magnifique, le ruisseau chantais une mélodie pouvant me bercé dans mes réflexions, je m’installais donc puis me reposa prés de ma nouvelle trouvaille. Le lendemain, réveillé par la faible éclairci que laissé passé ces hauts arbres, je partis découvrir les horizons. Le soleil au zénith je commençai une méditation qui me servirai à estimé approximativement la quantité de chakra en ma possession. Je m’assis sur un rocher en plein milieux de cette source de vie, puis me concentras. Mon chakra, était en petite quantité, mais néanmoins présent. Je m’essayais à un jutsu simple. Mais avant d’effectué ce dernier je me rendis compte, que si je m’entrainais au jutsu, je ne serai rien d’autre qu’une pale copie d’un certain Raikage aveuglé par le pouvoir.
Je décidai donc d’être à l’ origine, le créateur d’une technique de combat unique, ou peut importe l’adversaire, après ma rencontre il aurait le choix de changer, de murir et de devenir sage. Une technique se servant essentiellement de la force de son adversaire, car notre pire ennemis n’est autre que nous même. Une technique basé donc sur mes réflexes ainsi que mon anticipation des coups. Il me faudrait une connaissance des points vitaux pour que je ne puisse, dans un cas ou seul l’attaque serai mon issue à sa repentance, tué ce fameux être perdue. Je pense que nous somme pas née pour tué mais pour que chacun, donne des leçons aux autres. Dans cette optique, tout le monde est une leçon, on est donc tous complémentaire, c’est pour cela que les guerres sème un tel désordre, il y a certes la mort des proches, mais aussi l’écho engendrais par ces dernier, qui réduit à l’état de poussier se retrouve dans l’incapacité d’enseigné la vie, leur vie, leurs point de vue, à ceux qui se doivent d’être complété. Puis le soleil couchant, je partie me éclaircir mais idée dans un sommeil réparateur.
Pourtant endormie, j’entrouvrai mes yeux sur monde sans début ni fin, un monde blanc, sans rien…Hyo était là, une porte était situé derrière lui, avec l’impression qu’il gardé la porte, je me rapproche, puis comme inattendu, Hyo comme une récitation me dictas ces paroles:

Tranchant comme le fil d’un sabre
La lame de métal découpe chaire et os
Mon esprit a beau être en paix
Le monde chaotique manquant de chaleur en son sein
La vie devient plus cruelle
Oh oui je dois trouver ma voie !

Rien de moins qu’une errance à travers terre, eau et feu
Les éléments composent une œuvre
Majeur, mon monde opératoire n’est qu’un amalgame

L’acier condensé en micro éclat
Sur mon armure la marque de tout pro
La récompense ultime c’est l’honneur pas les titres

Sans équité des guerres sans maître
Une âme libre, le crie de guerre d’un faucon
Fait s’envolé une Colomb, sèchement dépecé
Demande-toi pourquoi un loup solitaire ne se mêle pas à la meute
Ne te fit qu’à tes instinct et ne fait qu’un avec le dessein.

Passe des jours
Passe des nuits
Certains vivent et d’autre meurt
Dans la voie de l’humanité

Des combats
Du sang versé
De l’aube
Au crépuscule
Les fils d’un crie de guerre

Passe des jours
Passe des nuits
Certains vivent et d’autre meurt
Au nom de l’humanité

Puis la vois baisse peut à peut de volume, la porte s’ouvre, puis inspiré par cette dernière je fini par me réveillé au milieux de cette belle nature sauvage…

PARTIE II

Ces paroles résonne encore, cherchant la réelle signification de c’est mot devenu réalité à mes yeux. Je compris qu’un guerrier, un ninja, un humain, doit se battre non pas par obligation mais pas volonté. J’aimerais tant posséder la force d’esprit et physique pour libéré au moins une personne, une seul qui a son tour en libéreras. Le monde serai alors composé de personne se soutenant les une aux autres mais malheureusement un tel monde est tous simplement impossible. Certain homme sont tellement enraciné, aveuglé par leur vision que admettre une tout autre réalité serai de les tués. Quelle tristesse, les hommes ressemblent parfois plus à des démons qu’à des animaux sociaux. Il faut donc de la force pour ce faire entendre, admettre dans un monde qui est, au final, rien de plus salît par nous, les autoproclamés maîtres de la terre, nous les hommes…

C’est dans cette optique que je pris comme objectif de gravir la montagne, symbole de l’imprenable, lieu où seul les faucons gouvernent. Malheureusement mes sens étant bien mal affiné, ne pouvant même pas ressentir la moindre vie, le moindre bout de roche, il m’était donc impossible en ce temps d’accomplir une telle tache…Devenir nature pour mieux la comprendre, mieux la percevoir, être à l’écoute du monde environnent au lieux d’écouté seulement ces propres voix intérieur. Il faut crée la symbiose entre la nature, notre conscient et subconscient, être présent physiquement et mentalement dans ce monde de narcissique humain. Je me rasseyais sur mon bout de roché flottant, me concentrant sur n’importe quoi, poisson, vent, arbre, l’eau, toute vie, tout ce qui pourrait me faire progressé, amélioré mon écoute…
Je mis pas loin d’une saison entière pour percevoir un minimum d’objet, un minimum de vie mais cela ne suffisant pas. Puis je compris mon erreur, lors d’un rêve où Hyo me montras, par une métaphore, que pour prendre une pomme à un pommier, la meilleur façon de l’obtenir n’est autre que d’attendre que cette dernière ne tombe… Dans mon cas, je n’écouté par la nature, je ne ressentais pas réellement cette dernière, car je le recherché à l’entendre. Je devais tous simplement laissez la nature me parlais, ne pas essayé de contrôlé, mais se laissé bercé pas la symphonie orchestré par les éléments de la nature. Deux semaines plus tard, je réussissais à percevoir tellement de beauté dans cette montagne, que déplaçais ne serai ce qu’un caillou était comme pour moi, taché un tableau fabuleux. Je m’entrainais à pêché, à chassé le poisson avec mes mains, mon écoute était devenue assez affuté pour qu’aucun poisson ne passa. Mais mes sens n’était pas à leur maximum, le temps les augmenteras et puis chaque jour passé dans cette montagne, à survivre pour certain vivre pour moi, ne sont rien d’autre que des exercices, des leçons car la vie est une leçon où on apprend à ce connaître sois même.

PARTIE III:

Il était important, que mon corps et mon esprit se synchronise, que mon esprit puisse s’exprimé physiquement sans que ce dernier ne faiblisse. Je fus des exercices qui me rendu nostalgique, ceux du fameux programme qui nous destiné à être de bon ninja, de bon mouton…Je passais, plus d’une saison à faire les mêmes exercices de musculation, sans relâche, mais sans inutilité. Dans ces exercices totalement ennuyeux, mais pour autant indispensable, je m’étais fabriqué un objet qui me servirais principalement de détente, de relaxation, un objet nommé « Shakuhachi ». Je passais des heures sur ce petit bout de bois, réalisant mes propres mélodies, essayant de communiqué avec les oiseaux qui fut de réelle rivaux. Cela entrainait aussi ma respiration et le contrôle de mon souffle, tout est un exercice…Puis petit à petit j’arrivais au niveau physique désiré. Puis je partie, avec la promesse que cette endroit serai mon tombeau, cherché un expert en sabre, pour me transmettre son savoir…
Je vue les feuilles tombaient, devant mais yeux au commencement de mon entrainement, et partant, je vue les fleurs éclore, le dictons « voir les pétales d’un lotus sortir de son bourgeon est une des merveilles de ce monde », est tout simplement exact.

Lueurs flottantes à la surface de l'eau,
Mon intention posée sur toi.
Lotus de mes rêves
Ennivre mon corps,
Diffuse dans mes veines
Ton doux parfum de soie.
Ensemble,
Ecoutons notre silence,
Le mystère de la naissance,
Retrouvons
L'essence de nos âmes
Au cœur de nos vies mêlées.

Sortis par un matin d'hiver
Des fleurs de neige sur les pommiers
Nos doigts en quête d'éternité
Caressant l'air pur, le regard serein
Portant au loin, l'horizon immaculé
De nos songes d'airain
Nous rassure.
L'amour arrive, sain et mature

Cinq chandelles blanches
Pour un solstice de bonheur.

Le village de Kiri donc ...